30/05/2009

Tour de la Blogosphère Poker 2

En Juin 2008, j'avais intitulé un billet Petit tour la blogosphère où je faisais une liste des blogs poker que je fréquentais à l'époque..

Depuis, de nouveaux blogs ont fait leur apparition.
En voici quelques uns qui valent le détour :


Gexti, joueur online, publie régulièrement des articles orientés stratégie, et partage ses mains (des jolis coups et des bad-beat).
M'étant retrouvé plusieurs fois à sa table lors des freerolls de Club Poker, je dois avouer le craindre un peu car il a toujours réussi à me lire jusqu'ici..

Celtic Touch, prof de maths, nous raconte comment il initie ses collègues prof au poker sur des tournois à structure "double-chance".
Espérons que ses élèves ne deviendrons pas de jeunes ados addict (voir cet extrait d'article sur les ados addict)


Xewod s'occupe d'un blog lui aussi très bien fait, alimenté par des articles originaux -comme par exemple un concours de photo Votre Bureau Poker auquel j'ai participé en envoyant la photo de mon "installation" légèrement bordélique, ci-contre.




Quand à Yvoutime, il confiait dans son dernier billet il y a un mois : Un éloignement pendant quelques temps peut m'être profitable, pour que ma passion ne se transforme pas en une vilaine addiction et me ruine moralement et financièrement .
La mort d'un blog peut-être..

Kipik, continue à abreuver son blog de comptes-rendus détaillés, contrairement à Tilou qui se fait plus discret. Malgré leur sponsor Cenacle, les 2 recherchent néanmoins toujours des stackers, si vous ne savez pas quoi faire de vos sous..


Voilà, désolé pour ceux qui tiennent un blog et que je n'ai pas cité..
Les meilleurs d'entre eux sont dispos via des liens sur la droite de ce blog.


Et pour ceux qui en veulent encore plus, je conseille blogandpoker.com, où d'autres blogs sont toujours référencés.

Bon Surf !

28/05/2009

Les ados : de futurs Poker Addicts ?

Un article publié sur le site Canadien technaute.cyberpresse.ca tire la sonnette d'Alarme :

Tout est fait pour initier les enfants au jeu dès le plus jeune age, et ils sont de plus en plus nombreux à tomber dans l'addiction..


Même si j'ai tendance à défendre le droit à la poker-addiction pour les adultes (qui sont libres -et responsables- de faire ce qu'ils veulent avec leur argent), c'est moche d'entendre que certains jeunes ont déjà des problèmes liés au jeu..



Quelques extraits :


La proportion de jeunes Québécois devenus des joueurs compulsifs est deux fois plus élevée que chez les adultes.


Qui a déjà vu un pop-up d'un jeu de poker sur Internet?» Presque tous les élèves lèvent la main. «Qui l'a déjà essayé?» Plus de la moitié des mains se lèvent.

Après l'alcool et les drogues, le jeu commence aussi à faire l'objet de prévention dans les écoles secondaires du Québec.

Dans cette maison pour joueurs compulsifs, la clientèle a changé depuis les dernières années. «À cause d'Internet, nos clients sont de plus en plus jeunes», affirme Mme Lehoux.

Un enseignant est préoccupé par l'ampleur du phénomène : «Une adolescente est venue me voir, son copain avait 16 ans et il avait 2000 $ de dettes. À cet âge-là, ça commence à être sérieux», dit-il.


Deux fois plus à risque?

Jeux de cartes, billets de loterie, paris sportifs privés, mises sur Internet...

De manière générale, 2 % des adolescents québécois sont considérés comme des joueurs compulsifs. Une proportion qui est tout de même deux fois plus élevée que chez les adultes, puisque 1 % sont aux prises avec un sérieux problème de jeu.

De façon générale, les parents ne sont d'ailleurs pas trop préoccupés par les jeux de hasard, ajoute la chercheuse : «Les parents pensent souvent qu'il s'agit d'une activité pas trop problématique, qui a peu de conséquence.»


Du hockey au Poker

Des mères désemparées ne savent plus trop que faire de leurs grands ados qui ont décidé d'abandonner l'école pour gagner leur vie... comme joueur de poker professionnel sur Internet. «Au lieu de vouloir devenir joueurs de hockey professionnels, les jeunes veulent maintenant devenir joueurs de poker», lance Mme Martin.

Difficile en effet de se battre contre une industrie qui fait des gagnants de tournois de poker de véritables vedettes du petit écran.


Jetons virtuels dès le primaire

Sur Internet, l'offre de jeux de hasard se multiplie. Tout est fait pour séduire... même les plus petits.

Le populaire site www.jeux.com, que connaissent la plupart des enfants et leurs parents, offre de tout : jeux d'agilité, jeux d'aventure, jeux de stratégie et... jeux de hasard. Le poker n'y fait pas exception. Un des jeux version simplifiée, le Jurassic Video Poker, s'adresse visiblement aux plus jeunes. À l'écran, un éléphant vivant dans une jungle aux motifs enfantins distribue les jetons.

Les enfants ne jouent pas nécessairement de l'argent, mais les jeux gratuits sont là pour en développer l'habitude.


Lien : l'Article dans son intégralité sur technaute.cyberpresse.ca

26/05/2009

Les Conseils de Nicolas Levi

En 2008, Nicolas Lévi -alias CrocMonsieur- prodiguait quelques judicieux conseils aux visiteurs du site Poker-Academie.com, une vidéo à voir :



Il y confie notamment avoir tenu des tableaux de statistiques sous excel, pour visualiser son évolution sur des graphs (incontestablement une des clés de la gestion de bankroll)

Récemment, on l'a vu en Table Finale du Grand Prix de Paris à l'ACF, face à Vikash Dhorasso entre autres (Intégralité de cette finale en vidéo sur clubpoker.net)

Depuis 2007, Nicolas Levi est sponsorisé par Winamax.. (comme Johny001 ou encore xxTalkxx ..)

Dernier mot sur Winamax : ils sont la source de vidéos de jeu en ligne : voir La Poker Shool sur leur site. Très ludique !



Bon voilà, je mets cette bannière et maintenant je le promets, j'arrête : mon prochain post ne parlera pas de Winamax..

23/05/2009

xxTalkxx à l'action !

Après la vidéo de Johny001 at home, voici Anthony Roux, alias xxTallxx, lui aussi sponsorisé par Winamax.



On le voit ici en 7-tabling de Cash Game Hautes Limites (2000€ la cave), pour une session qui ne se passe pas si bien que ça..

Grosse démonstration de calme, prouvant si il le fallait qu'une parfaite maitrise de soi est une qualité indispensable au bon joueur de poker :)

(merci Made in Poker pour ces vidéos de qualité)



Bref, encore un joueur sponsorisé par Winamax. Ce site se débrouille bien pour qu'on parle de lui :
On en apprend un peu plus sur celui-ci grace à cet article paru sur Libération, intitulé Le coup de Bluff de Winamax, qui dévoile l'achat du site anglais par Marc Simoncini (le fondateur du site de rencontres Meetic), associé à Patrick Bruel et deux rejetons de la bulle Internet, Alexandre Roos et Christophe Schaming, cofondateurs de Caramail.

(Article que je plaggie honteusement)

Les quatre hommes connaissent parfaitement Winamax. Dans l’ombre et parfois à la lisière de la légalité, ce sont eux qui ont contribué à faire de ce site ce qu’il est : un acteur de poids du poker francophone.




« La boucle est bouclée
, s’amuse un concurrent. Ils ont développé le site pendant que c’était illégal. Ils attendaient le jour où les jeux seraient autorisés pour sortir du bois. »

Viol de Monopole :
Né en 1999, Winamax.com a été créé par d’anciens cadres de Havas Interactive. La société développe un jeu de gestion des équipes de foot (le « jeu de l’entraîneur »). En 2000, l’homme d’affaires Robert Louis-Dreyfus injecte 2 millions d’euros dans le site pour son développement international. Puis en 2004, le site domicilié en Angleterre passe dans les mains d’un trio de français  : Alexandre Dreyfus (parti depuis pour se lancer en solo dans le site Chilipoker, basé à Malte) et – déjà – le duo Alexandre Roos et Christophe Schaming. Les nouveaux actionnaires garderont autant que possible l’anonymat. Pour une raison simple  : les jeux qu’ils offrent violent le monopole français du PMU et de la Française des jeux. Une opacité entretenue avec un certain esprit potache  : on a longtemps pu lire, sur le site de Winamax, une interview d’un dénommé Nelson Kontos. En violation de la loi, ce prétendu dirigeant du site incitait les joueurs français à venir dépenser leur argent, les assurant qu’ils ne risquaient rien. Lui-même ne risquait pas grand-chose  : de bonne source, Kontos n’existe pas. Après un début dans les paris en ligne, l’équipe de Winamax bifurque rapidement vers le poker. Un virage auquel la rencontre du tandem Bruel-Simoncini donnera tout son sens.
Le chanteur et comédien Patrick Bruel a été mordu de poker bien avant que cela ne devienne une mode. Joueur émérite, champion du monde 1998, il voit se dessiner avant d’autres la transformation du jeu en phénomène de société, avec l’argent à la clé. En 2005, il acquiert les droits du World Poker Tour (WPT). Ce programme télévisé qui cartonne aux Etats-Unis est importé sur Canal +. Bruel coproduit et commente l’émission. C’est un succès immédiat. Mais le chanteur sait que c’est sur Internet, où de plus en plus de joueurs découvrent le poker, que se raflera la mise. Il contacte le fondateur de Meetic, Marc Simoncini. A l’été 2005, les deux hommes rencontrent, pour la première fois, l’équipe de Winamax. Très vite, la rumeur les annonce dans le tour de table des actionnaires. Simoncini et Bruel ont toujours nié. Fin 2006, Bruel déclarait à Libération : « Plusieurs sites de poker m’ont proposé de prendre des parts. Je me suis posé la question, j’ai pris conseil auprès d’avocats et je n’y suis pas allé. C’est illégal. Et moi, je ne fais rien qui ne soit pas carré, je ne suis pas un malade mental. » Aujourd’hui, Simoncini concède seulement que les deux hommes ont pris, très tôt, des « options d’achat ».

Ce qui est incontestable, c’est que le tandem va contribuer à développer un site qui, en dépit de sa licence anglaise, et contrairement à ses concurrents internationaux, cible presque exclusivement la France. Techniquement, Winamax n’a rien d’exceptionnel. Dans le jargon du métier, il ne s’agit que d’un « skin », d’une plateforme fournie par un prestataire, Ongame. En clair, le site n’est qu’une des multiples entrées d’une gigantesque salle de poker virtuelle à laquelle on peut accéder par une dizaine d’autres sites. Ce type de contrat est un classique du business du poker online  : il permet d’offrir aux clients un maximum de tables de jeu et de joueurs connectés simultanément. Reste à partager les profits  : Winamax se rétribue en gardant environ 80 % des recettes provenant des joueurs arrivés via Winamax. Les 20 % restants sont reversés à Ongame. Une location de salle, en quelque sorte. L’originalité de Winamax, c’est son marketing très abouti, centré autour d’une arme d’attraction massive  : Patrick Bruel. Le chanteur profite du succès de son émission sur Canal + pour se transformer en tête de gondole de Winamax.

Simoncini et Bruel abattent vite une autre carte. Dès 2006, ils lancent un portail consacré au poker  : WAM. Sans se cacher, car le site a le mérite d’être légal. On peut y jouer, mais sans mise d’argent. Officiellement, WAM-poker et Winamax n’ont rien à voir. Sauf que le support technique est le même. Et que WAM, basé dans les locaux de la boîte de production de Patrick Bruel, est géré par Alexandre Roos. En fait, le site joue les rabatteurs de clientèle pour Winamax  : une simple inscription sur le forum de WAM donne ainsi droit à une participation à un tournoi Winamax.

Nouvelles règles du jeu :
Les sites de jeu en ligne étant interdits en France, et la publicité pour lesdits sites tout autant, les Renseignements généraux vont vite se pencher sur l’affaire. Ils multiplient les convocations  : Bruel, Simoncini, Roos défilent. Même le « fantôme » Nelson Kontos reçoit sa convocation. Bruel et Simoncini sont priés de cesser illico leur publicité. Ce qu’ils font. Mais leur buzz pour Winamax a déjà dopé la fréquentation du site qui affiche aujourd’hui 700 000 comptes et revendique 150 000 joueurs. De bonne source, Winamax dégagerait un bénéfice net proche de 10 millions d’euros pour 30 millions de chiffre d’affaires. Si Winamax fait figure de nain en comparaison des géants du secteur (PokerStars, le leader mondial, génère l milliard de dollars de revenus), l’émergence de ce petit site a fait des mécontents. Les gérants de casinos traditionnels ont dénoncé un braconnage de leur clientèle. Patrick Partouche, tenancier des casinos du même nom, a plus que les autres une raison de râler. Lui aussi s’était lancé, dès 2002, dans le poker online. Mais avec moins de chance, ou d’habileté. En 2007, il écope de 40 000 euros d’amende et d’un an de prison avec sursis. Peu avant le verdict, Partouche déclarait à Libération  : « On m’empêche de faire ça. Très bien, mais il faut que la loi s’applique à tout le monde. Maintenant, moi, je vais m’asseoir sur le bord de la rivière et voir passer les cadavres. » Relaxé en appel, Partouche dit aujourd’hui  : « J’ai payé pour avoir fait officiellement ce que d’autres faisaient à l’ombre. J’ai sauté sur la première mine. »

D’autres sauteront-ils  ? Le juge Renaud Van Ruymbecke a déjà entendu Jean-Michel Pillot. Cet ex-associé de Roos constitue un autre maillon de la chaîne Winamax. Il était en charge de Cleverine, une société d’encaissement pour compte de tiers, montée pour contourner certains verrous bancaires. Un certain nombre de banques françaises ayant été amenées à bloquer tout versement de leurs clients vers des sites de jeu illégaux, Cleverine avait l’avantage de n’être pas répertoriée comme ayant à voir avec le jeu en ligne… et pouvait donc sans souci encaisser les virements pour Winamax. D’autres dirigeants pourraient être entendus prochainement par le juge d’instruction. Pourtant, beaucoup d’acteurs du milieu doutent que l’affaire débouche sur une condamnation. Ces dernières années, la fermeté française en matière de lutte contre le jeu illégal a été combattue par Bruxelles, qui dénonçait les monopoles nationaux. Est-ce le moment de rouvrir ce front, alors que la France a fini par se résoudre à la libéralisation  ? Un très bon connaisseur du dossier explique  : « Ce qui était illégal va devenir légal. Beaucoup de sites existants qui vont demander des licences ont violé la loi. Dans la zone grise où on se trouve, il convient surtout d’éviter les emmerdements. Il faut savoir repartir à zéro avec de nouvelles règles du jeu. »

Si le coup d’éponge se confirme, l’équipe de Winamax aura réussi son coup de poker. Le site pourra jouir de la position acquise depuis trois ans. Dans les Echos , la semaine dernière, Marc Simoncini déclarait  : « Après l’obtention de la licence, transférer le siège de Winamax en France ferait du sens. » La morale de cette histoire  ? Il n’y en a pas. Ou alors que le poker, ça peut rapporter gros. A condition de calculer les risques et de savoir cacher son jeu. Foi de Nelson Kontos.




Lien :
- l'article d'origine "Winamax, coup de bluff" sur ecrans.fr
- article publié en 2007 : "Winamax et WAM-Poker cachent leur jeu" sur ecrans.fr

19/05/2009

Article LeMonde about Poker

Article publié dans Le Monde du 18 Mai, intitulé
Poker gagnant (page 1 page 2)

Un article plutôt correct dans son ensemble, (ce qui change des sujets TV qui font passer les joueurs de poker pour des voyous).

Il alerte sur le coté addictif du poker : "Le poker est à la mode, surtout chez les jeunes, qui y voient un moyen de s'enrichir facilement"

Il fallait donc que j'en parle dans ce blog :)



Quelques extraits choisis :

A propos des people (notamment ceux présents à l'EPT de Monaco et au Grand Prix de Paris) :
".. plantés dans le décor, juste bons à être "plumés" . Jamais aucun d'eux ne parvient jusqu'aux places payées - les 80 premiers gagnent de l'argent, en général -, à part, exception de taille, Patrick Bruel .."
Sébastien Chabal, Boris Beker et Kool Shen -directement cités- apprécieront..


About Sponsoring, Michel Abecassis, consultant pour Winamax, regrette :
"On aimerait bien avoir Elky chez nous, mais il vaut des millions.. "

Faute d'Elky, Winamax s'est rabattu sur des joueurs au fort potentiel "communicatif" : La jolie comédienne (Alexia Portal), la jolie joueuse d'échecs (Almira Skripchenko) ou encore le fameux Guillaume de La Gorce, alias Johny001 :
"A 28 ans, cet ancien élève d'une école d'ingénieurs a déjà gagné plus de 1 million d'euros. "Ça ne représente rien, cet argent", lâche-t-il froidement. Il vit à Londres, dans un appartement en collocation avec d'autres joueurs, écume les tournois, des Bahamas à Venise." (voir vidéo ci dessous)

"Il ne devrait pas revenir s'installer en France. La future taxation de 2 % des mises envisagée par le gouvernement français lui semble un mauvais choix."

Tu m'étonnes..



Et je finis sur cette vidéo Made in Poker (qui tourne depuis quelques mois déjà) : Johny001 at home

15/05/2009

Interview de Chabal à l'EPT de Monte Carlo

Après Kool Shen (récemment sponsorisé par Pokerstars),
Vikash Dhorasso (actuellement en tête du grand prix de Paris - voir CP),
la tournée des stars-joueurs continue avec le très sympathique
Sébastien Chabal, qui a participé à l'EPT de Monaco (vidéo from Made In poker) :



Temps qu'il reste calme lorsqu'il se prend un bad-beat..

02/05/2009

Bilan Avril + Cashout

Un petit +235$ de gain en Avril, amenant ma bankroll à proximité des 2000$.



Mes résultats par jour sont compris en -20$ et +40$.
Beaucoup de prudence. Un peu trop sans doute.




Un mois qui a commencé en 20-tabling de DoN à 1.1$ (un moyen efficace pour atteindre rapidement le statut Silverstar), puis du Sit&Go 45 joueurs à 1.1$. -stats ci-contre-

Un gros volume de jeu pour peu de gains.

On est loin du "jouer moins pour gagner plus" dont je parlais en 2008..




Et pour être sur de pas voir ces gains s'envoler, j'ai cashouté 1000$ (via Neteller).
Mai repart donc avec une "nouvelle" bankroll d'un peu plus de 900$.

Si possible, j'aimerais être moins écureuil en Mai : jouer des tournois à plus gros buy-in, et pourquoi pas chatter sur un gros MTT comme mon cousin (alias jackhemp) qui nous fait ce mois-ci une perf de fou : 2ème sur 1700 sur un MTT à 55$. Gain : 10.7k$.

(Quel petit joueur je fais en comparaison..)


J'ai encore des progrès à faire sur la confiance je crois..